• Les nuits nocturnes d'Irma

    Bienvenue dans le monde étrange et envoutant des rêves et des cauchemars.

    Dans cet endroit Irma écrira la plupart de ses escapades nocturnes.                                    Sachez néanmoins que ce qui se passe dans la tête d'Irma pendant la nuit peut s'avérer assez choquant, -même si les scènes qu'Irma a jugé trop 'hard' ont été enlevés-, donc ne commencez pas à lire ceci si vous n'êtes pas prêts.

    Tous ce qui va être écrits ici est assez personnel donc dans ces récits Irma parlera d'elle 'normalement'. Vous pouvez laisser vos impressions ou se que vous voulez dessus mais Irma n'acceptera pas de remarques désobligeantes ou quoique ce soit dans ce genre là. Tous les textes qui seront publiés viendront uniquement d'Irma, s'ils ont une ressemblance quelconque avec la réalité Irma ne pourra en être tenue pour responsable.

    PS: Si vous n'aimez pas les pavés vous pouvez faire demi tour tout de suite.

    Si l'idée vous plait n'hésitez pas a vous en resservir. ( Irma est très partageuse ^^ )                Si vous avez des remarques concernant la couleur, l'écriture, les éventuelles fautes etc.. des textes dites le à Irma.

    Sur ce, Bonne Lecture....

     

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    Mes rêves.

  • Nuit du 16 au 17 Février 2014.

    Les descriptions

    Le récit

     Mes commentaires, remarques etc..

     

    Invasion...

     Alors comme souvent, j'ai fait un rêve en rapport avec des zombies...

    J'étais avec mon père et mon petit frère, on essayais de fuir une invasion de  zombies et pour cela on montait dans un train qui devait nous emmener en lieu sur, sauf que sur le quai de la gare où se trouvait le train dans lequel nous étions, des agents de sécurité commençaient à barricader des portes comme ils le pouvaient (en gros y avaient des zombies derrière) et on voyait que ce n'était pas solide du tout.
    On était dans le train et on attendait qu'il parte mais il n'avançait pas et c'est à ce moment-là qu'on a commencé à entendre des gens hurler à l'extérieur. Je regardais donc par la fenêtre pour voir ce qui se passait, même si au fond de moi je le savais très bien. Au loin, sur les quais, je voyais de zombies de partout qui arrivaient à toute allure en massacrant les gens sur leur passage.
    Avec mon père et mon frère on avait alors décidé de sortir pour s'enfuir avant qu"ils"ne montent dans le train qui ne bougeait toujours pas. On se préparait donc à sortir du wagon, mon père devant et mon frère et moi qui le suivions. Mon père mis les pieds dehors et commença à se retourner pour aider mon frère à descendre quand soudains de train se mis à avancer à une très grande vitesse. Mon père n'eut pas le temps de remonter dedans que nous étions déjà sortis de la gare.
    Anéanti et désespéré, je passais ma tête par la porte du wagon qui était restée ouverte et, impuissante, je regardais mon père, pris au piège sur le quai, seul, en train d'essayer d'échapper à ces monstres...

     

    Le train continua d'avancer quelques temps, on ne savait pas où il nous conduisais mais ça n'étais pas important, on venais de perdre notre père... La boule au ventre mais sans pleurer je relevais la tête et regardais par la vitre, quand je me rendis compte que le train était à nouveau immobile. Avec Clément on décida de descendre là, même si l'endroit avais l'air peu sur et abandonné, mais étant donné que bons nombres de passagers étaient sortis du train avant nous et que le train ne bougeait plus, ce choix nous avais paru plus judicieux.

    A l'extérieur, le paysage était désertique, de vastes étendues de terres desséchées nous entouraient. Seul les rails, et se qui semblait être une ancienne gare ainsi que ses annexes se dressaient ici.  En face de nous, se trouvait une sorte de vieux hangar qui semblait abandonné depuis longtemps. Le bâtiment était plutôt grand, avec d'immenses plaques de tôles froissées en guise de murs et de porte, qui était ouverte. Même sans être à l'intérieur, je pouvais voir que le sol était recouvert d'une terre rougeâtre, au milieu se trouvait de grande malles (comme sur les cargos)  totalement rouillées et un peu plus loin un espèce de monte charge assez gros. Les quelques vitres, se trouvant au plafond, étaient également recouvertes de cette poussière teinté de rouge, ce qui empêchait presque la lumière de passer. (Je vous laisse imaginer l'ambiance --' )

    Le groupe de personnes qui étaient descendus commença à se diriger vers le hangar. Nous les suivions, mais mon instinct me disait que quelque chose de dangereux arrivait. J'avais beau avoir peur, j'avançais. Mais à peine avions nous fais quelques pas que des zombies débarquèrent de derrière le hangar. Tous le monde se mis a paniquer et a vouloir se mettre en sécurités. La plupart se dirigèrent à l'intérieur du bâtiment pendant que d'autres voulaient remonter dans le train vainement.                                                                       Les zombies déchiquetaient les entrailles, ils se nourrissaient bestialement, certains s'attardaient sur des corps hurlant qu'on viennent les aider. D'autres, non moins féroces, se 'contentaient' de mordre violemment les personnes autour d'eux, d'arracher leur chairs mais de les laisser vivants, certes, mais pour combien de temps ?
    Je me retrouvais dans le hangar, avec ces gens, paniqués, essayant de monter sur les malles, certains y arrivaient, mais pas tous...                                                                        Je me dirigeais vers le monte charge, comme beaucoup d'autres d'ailleurs. Je ne savais plus qui était humain et qu'est ce qui ne l'était pas. Par miracle, je me retrouvais sur le monte charge, Clément à côté de moi, mais certains voulaient y venir aussi et une guerre s'engagea entre nous. Les uns tiraient, les autre poussaient. Au final, seul 5 d'entre nous parvinrent a se hisser dessus.                                                                                              Les créatures se regroupaient en nombre sous notre seul refuge. A ce moment là, mon esprit était comme figé. Je me souviens seulement d'une femme assez grosse, blonde, qui avait trouvé la télécommande du monte charges et qui, en voulant monter encore plus, avait appuyé sur le mauvais bouton, dans la peur et la précipitation, et nous avaient tous condamnés.                                                                                                                           Le monte charges était descendu à une vitesse folle, personne n'avait eu le temps de réagir que déjà les zombies étaient sur nous et commençaient à attaquer.  *la scène suivante, ayant été jugé trop choquante par le comité de la sauvegarde de l'innocence des plus jeunes, a été retiré. Merci de votre compréhension*  Mon frère et moi faisions parti de ceux qui avaient réussi a s'échapper 'juste' en se faisant mordre, Clément à la main et moi au bras.

     

    Nous marchions tout les deux dans ce désert, les zombies nous poursuivant toujours, quand un espoir apparu devant nous. Un grillage métallique de plusieurs mètres, un peu plus haut qu'un homme, se trouvait ici, au milieu de ce désert. Derrière cette grille, une cité qui avait l'air très défavorisé et assez dangereuse mais néanmoins sure. Un homme se tenait assis devant avec quelques amis à lui. On se dirigea vers eux. L'homme en nous voyant eu l'air surpris et devint agressif. Je m'approchais de lui et lui demandais de nous laisser entrer mais il refusa immédiatement. J'avais beau négocier avec lui et lui dire que des zombies allaient arriver, il ne voulait rien entendre et se contentait se me répéter que la cité était réservée à ses habitants. Je sentais le danger se rapprocher et je cru vraiment pendant un instant que j'allais mourir dévoré par ces choses quand, sortant de nul part, mon père apparu. Je n'arrivais pas a y croire, j'étais tellement heureuse !                             Il nous fis rentrer dans la cité et nous indiqua sa vieille safrane (c'est une voiture) où on alla s'installer. Mon père se mit à la place du conducteur, mon frère à côté de lui et moi à l'arrière. Il commença a rouler, je lui demandais alors comment il allait. Il me répondit qu'il allait bien, mais en regardant ses yeux dans le rétro-viseur je me rendit compte qu'ils étaient injectés de sang (ça c'était hard). Je lui redemandais donc, en lui disant que Clément et moi avions été infectés donc qu'il n'avait pas a avoir peur de nous dire la vérité, et il m'avoua enfin que lui aussi avait été mordu. Nous sachant condamnés, je dis à mon père que je ne voulais pas mourir dans un endroit comme celui là et qu'il fallait absolument qu'on trouve un endroit encore 'pur'. On se mit donc en route tout les trois.                                                                                                                                         On passa sur un pont au dessus d'un immense canyon, recouvert d'un lac et bordé par des forêts somptueuses. Je dis à mon père que c'était là, dans cette forêt, que je voulais mourir. On continua de rouler un peu quand on se rendit compte que pour s'y rendre il fallait traverser un tunnel et qu'on de ne pouvait y aller en voiture. Nous étions tous déjà à un stade très avancer de l'infection et nous n'étions pas sur d'arriver jusqu'au bout du tunnel mais on pris quand même la décision d"essayer. On s'y engouffra donc, à moitié morts, mais toujours avec l'espoir d'en ressortir.                                                                             Le problème auquel nous ne nous attendions pas c'est que dans ce tunnel se trouvait des agents de sécurité chargé de tuer les éventuelles zombies et d'empêcher les voyageurs de passer. Ils se rapprochèrent de nous et commencèrent a nous malmener. Je voyais mon frère se faire tabasser à ma droite, mon père se faire tuer à l'arme blanche devant moi et quand ils eurent finis avec eux, ils vinrent vers moi sortirent un genre d'immense aiguille qu'ils m'enfoncèrent d'abord dans les yeux puis dans le ventre. 

    Après ça je me suis réveillée en ne sachant pas si je voulais pleurer ou vomir.

     
      


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